• La géobiologie scrute les ondes dans votre maison

Géobiologie : votre maison est-elle nocive ?

Parfois on ne parvient pas à comprendre pourquoi on est malade alors qu'aucun paramètre biologique ne semble atteint. Et si c'était votre maison ? Voici quelques conseils qui vous aideront à rendre votre habitation moins nocive et, si vous en doutiez, une preuve en vidéo de l'utilité de la géobiologie.


Notre santé dépend aussi de l’endroit où nous vivons !

Science pour certains ou technique pour d’autres, la géobiologie est l’étude de nombreux facteurs liés à l’habitation et au lieu de travail, pouvant avoir des conséquences pour l’épanouissement et la santé des personnes exposées. Les géobiologues, professionnels de l’habitat sain, sont chargés d’étudier les terrains à construire et les habitations déjà réalisées.
À l’aide d’appareils électroniques, ils détectent, mesurent et contrôlent la présence de pollutions électromagnétiques, la valeur de la prise de terre… mais peuvent également avoir recours aux baguettes de détection pour la localisation des rayonnements telluriques. L’apparition des téléphones mobiles, ordinateurs, radars, ligne à haute tension etc., ne permet plus d’avoir recours au seul radiesthésiste, autrefois pionniers des recherches en « ondes nocives ».

Éviter les eaux souterraines !

Conformément à la tradition du sourcier d’antan qui venait localiser les courants d’eau souterraine à éviter pour l’implantation de la maison, le géobiologue conseille aujourd’hui de s’écarter des rayonnements de l’eau. Dans son livre, « La terre et nous », Georges Lakhovsky mentionnait dès 1933 (1) le danger des rayonnements des failles et eaux souterraines et recommandait expressément de déplacer les lits situés à leur aplomb. Il annonçait même une relation de cause à effet avec le cancer.
Nous savons que les eaux souterraines induisent des courants électriques, ceci traduisant une modification du champ magnétique terrestre. Le professeur Yves Rocard (père du pont de Tancarville et de la bombe A) qualifiait cette modification magnétique « d’anomalie géomagnétique » et lui attribuait la cause de la réaction du sourcier.

Quels sont les effets indésirables ?

Les géobiologues, quant à eux, constatent lors de leurs études de maisons situées sur de telles anomalies, certaines similitudes.

Les nombreuses études géobiologiques françaises et allemandes mettent aussi en évidence l’incidence des rayonnements de l’eau sur l’apparition de certains cancers.
Il faut comprendre ici que dormir au-dessous de l’eau ne sera pas obligatoirement synonyme de la maladie, mais que l’agression nocturne des rayonnements telluriques pourra avoir une influence sur la précocité d’apparition et la rapidité d’évolution de la maladie. Ceci est aussi fonction de l’intensité des rayonnements, la durée et la fréquence d’exposition de l’individu, et sa sensibilité personnelle.

Dormir la tête au nord

Dormir la tête au nord est une des dernières recommandations qui n’est pas encore tombée dans l’oubli. Pour favoriser le drainage de l’organisme par le flux sanguin, selon le docteur Hartmann, mais aussi pour ne pas contrarier notre orientation magnétique naturelle ! Alors préservons notre corps énergétique et orientons-nous en accord avec celui de la terre !

Quelles sont les solutions ?

Si vous vous réveillez fatigué dans votre habitation, alors qu’à l’extérieur vous avec un sommeil réparateur, il est possible que votre lit soit mal placé. Déplacez-le ou faites venir un professionnel de l’habitat sain qui saura vous conseiller.
N’oubliez pas qu’il n’existe qu’une solution pour éviter les ondes nocives : s’en écarter ! C’est une affaire de bon sens !

Témoignages :

• Cancer du sein
J’ai demandé à un géobiologue de faire l’étude de notre maison, sans l’informer de mes ennuis de santé. Il a trouvé un point très nocif à l’emplacement du lit, exactement à l’endroit de mon cancer. Nous avons changé de chambre et depuis je me lève chaque matin en forme et prête à commencer à vivre !
Blandine L. (49).

• Soulager la vessie
Depuis que nous avons changé notre lit de place et banni la voiture du garage situé sous la chambre, je ne me réveille plus en milieu de nuit pour l’impérieux besoin de soulager ma vessie !
Françoise R. (49).

• Douleurs et blocages
J’ai déplacé mon lit selon vos conseils. Depuis ce jour, la sensation d’épuisement et de blocage que j’éprouvais chaque matin en me réveillant, a complètement disparu. Si j’ai un regret à exprimer, c’est d’avoir douté si longtemps du bien-être rendu par la mise en pratique de certaines connaissances en géobiologie…
Guénola I. (29).

Choisir des matériaux sains

Autrefois surnommée « or blanc » par les industriels et les bâtisseurs, l’amiante est aujourd’hui poison et fibre maudite, car reconnue enfin comme cancérogène. Alors, n’attendons plus les directives officielles pour nous protéger de certains matériaux douteux.


C’est le cas des isolants en fibres minérales artificielles (laine de verre, laine de roche) déjà classés comme agent cancérigène possible (groupe 2B) dans la classification internationale des agents cancérogènes. Les professionnels du bâtiment connaissent tous l’irritation cutanée lors de la pose. Mais qui s’est soucié des risques allergiques, irritations des voies respiratoires et de son éventuelle cancérogénicité pour les poumons ? Afin d’éviter l’inhalation des fibres, il est nécessaire de porter un masque type P3 lors de la pose, ainsi que des vêtements protecteurs. Les occupants de l’habitation n’auront rien à craindre si l’isolation est placée derrière un parement parfaitement étanche.
Ne vous fiez pas à la quasi-absence de démangeaisons pendant la pose de la laine de roche. Ses fibres sont plus petites que celle de la laine de verre et donc moins irritantes, mais elles persistent plus longtemps dans les voies respiratoires.

La présence de nombreuses peintures, colles, PVC, panneaux de particules, peut être à l’origine d’une concentration excessive de composés organiques volatils (COV) dans l’habitat. Les effets sur l’homme vont de l’irritation des muqueuses aux troubles neurologiques.
Les colles des panneaux de particules de bois agglomérés sont à base de formol et émettent du formaldéhyde. Reconnaissable par son odeur piquante, il peut provoquer des irritations aux yeux, aux muqueuses respiratoires ou encore des réactions cutanées comme l’eczéma. Il est classé comme agent cancérogène probable. Une personne touchée par le formaldéhyde peut rester allergique à vie.


Sachez que dans plusieurs pays européens, les panneaux de bois sont soumis à des normes visant à limiter leur émission en formaldéhyde. Choisissez les panneaux à faible coefficient d’émission. Avant utilisation, stockez-les dans un endroit ventilé pour permettre le dégazage. S’ils sont déjà en place, ventilez la pièce et étanchéifiez les panneaux avec un revêtement (peinture, papier peint…).

Ventilez vos maisons !

Depuis le choc pétrolier des années 70 et les recommandations à l’économie d’énergie, les habitations se sont transformées en véritables boîtes étanches. Bilan : augmentation des affections respiratoires dont l’asthme ! Face aux problèmes liés à l’hypercalfeutrement, les fabricants ont apporté et vendu la solution VMC (Ventilation Motorisée Contrôlée). Malheureusement parfois mal choisie, mal installée (ou non utilisée en raison de la nuisance sonore !), la VMC peut aussi aggraver certaines nuisances. Des particuliers ont vu la concentration de radon augmenter en raison d’une VMC qui refoulait à l’intérieur de leur habitation ! Demandez conseil au professionnel, confiez-lui la pose et préférez une VMC à double flux. Et n’oubliez pas d’ouvrir naturellement vos fenêtres tous les matins !

La pollution électromagnétique est une réalité !

Inutile de tomber dans l’éternel labyrinthe des enquêtes épidémiologiques contradictoires sur la nocivité des champs électromagnétiques. Quelle qu’en soit l’origine, la pollution électromagnétique est une réalité de tous les jours ! Si le risque leucémique n’est pas encore prouvé dans certains pays, d’autres affections, qui ne sont pas prises en compte lors des enquêtes, apparaissent plus encore chez les habitants de maisons polluées. Fatigue chronique, irritabilité, déprime, céphalées sont souvent avouées à la fin d’une étude géobiologique mettant en évidence une forte pollution électromagnétique.

La Suède, un exemple à suivre

Pour éviter le risque de leucémie, l’Administration Nationale de l’Énergie de Suède a recommandé que toute nouvelle école, centres de soins de jour, terrains de jeux, ne soient pas situés près de lignes électriques. Les champs magnétiques des lieux d’implantation devant être inférieurs au seuil d’alerte de 2 milligauss.
C’est également grâce à la Suède, et pour les mêmes raisons, que la plupart des ordinateurs sont dorénavant soumis à des normes visant à limiter l’exposition de l’utilisateur aux champs électromagnétiques. À 50 centimètres de l’écran, le champ magnétique doit être inférieur à 2,5 milligauss et le champ électrique à 25 volts par mètre (gamme ELF : 5Hz à 2kHz).
Vérifiez à l’arrière de votre ordinateur la présence du sigle TCO ou MPR qui confirmera cette spécificité. N’oubliez pas pour autant que votre visage devra se situer à plus de 50 cm de l’écran.

L’évitement prudent

N’attendez pas l’arrivée de nouvelles normes et optez pour le principe de précaution. Les conjonctivites, migraines, fatigues et cancers n’attendent pas d’être officialisés pour apparaître.

Ne jetez pourtant la pierre à personne, sinon au manque d’information. Si nous mesurons, chez les riverains de lignes à haute tension, des champs électromagnétiques dépassant les seuils d’alerte recommandés par la Suède, il est également fréquent d’obtenir des valeurs tout aussi importantes dont l’origine pourra être liée à l’habitat lui-même comme l’installation électrique ou l’équipement ménager.

Attention aux lits électriques dont certains modèles génèrent, dans un rayon de cinquante centimètres, un champ magnétique de 20 milligauss ! Les champs magnétiques traversent tout (sauf le plomb), et les dormeurs seront exposés au niveau de leur bassin.

Le département Santé de l’État de New York a recommandé aux femmes enceintes d’éviter l’utilisation des couvertures chauffantes, en raison du champ magnétique susceptible de provoquer des avortements spontanés. Éloignez tout transformateur (de calculatrice, téléphone, télécopie, halogène…) d’environ 1,50 mètre de votre tête de lit ou de votre bureau. Ils sont petits en taille mais peuvent générer les plus forts champs magnétiques de votre habitat !

Nombreuses sont les origines des champs électromagnétiques. Domestiquez cette nouvelle forme de pollution en évitant les sources ou en les éloignant. En cas d’impossibilité, vous aurez recours à des tissus de blindage ou des interrupteurs automatiques de champs.

Une solution constructive : la bio-construction

Habiter où il fait bon vivre ? C’est toujours possible à condition de se prendre en main et de modifier ce qui peut l’être.

Si vous devez construire, faites réaliser votre installation électrique en fil blindé. Vous supprimerez ainsi les champs électriques des cloisons de tête de lit ou des plafonds. Vous ne voulez pas d’une isolation thermique en fibres minérales artificielles ? Vous pouvez utiliser des plaques de liège expansé, de la laine de chanvre, de la laine de lin… Préférez la brique au parpaing. Le bois au plastique. Le naturel au synthétique.

Outre les réelles suppressions des nombreuses pollutions modernes, ces choix vous apporteront un bien être vital. Bio-électricité et bio-construction sont les meilleurs choix à faire pour obtenir la qualité de vie d’un habitat naturellement sain.

Pour en savoir plus :

« Votre maison est-elle nocive ? » Éd. de l’Ouvert (à noter la magnifique présentation de cet ouvrage très clair et très attrayant par ses nombreuses photos et dessins).

VIDÉO : Le mystère de l'arbre mort
une explication par la géobiologie

 

Et aussi : Les outils de la géobiologie


En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Soignez-vous ! ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé